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Je bois
A trop forte dose
Je vois
Des éléphants roses
Des araignées sur le plastron
D'mon smoking
Des chauves-souris au plafond
Du living-
Room
Eh toi
Dis-moi quelque chose
Tu es là
Comme un marbre rose
Aussi glacé que le plastron
D'mon smoking
Aussi pâle que le plafond
Du living-
Room
L'amour
Ne m'dit plus grand chose
Toujours
Ces araignées sur le plastron
D'mon smoking
Ces chauves-souris au plafond
Du living-
Room
Eh toi
Dis-moi quelque chose
Tu es là
Comme un marbre rose
Aussi glacé que le plastron
D'mon smoking
Aussi pâle que le plafond
Du living-
Room
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"Vous ne la connaissez pas encore, mais elle vous déteste déjà."
Tatie Danielle est un film français d'Étienne Chatiliez sorti en 1990. Avec : Tsilla Chelton1 : Tatie Danielle Billard, Catherine Jacob : Catherine Billard, Éric Prat : Jean-Pierre Billard, Laurence Février : Jeanne Billard,Isabelle Nanty : Sandrine Vonnier, la jeune garde, Neige Dolsky : Odile Dombasle, la vieille gouvernante.
À 82 ans, Danielle Billard est la grand-tante qu'on souhaiterait ne pas avoir. Odieuse, mesquine, voleuse, menteuse, capricieuse, elle en fait voir de toutes les couleurs à sa domestique, Odile, qui n'est guère moins âgée qu'elle (75 ans). Quand Odile meurt "accidentellement", Tatie Danielle vend sa maison d'Auxerre, dans l'Yonne, et lègue l'argent à ses deux seuls parents, ses neveux Jean-Pierre et Jeanne, à charge pour Jean-Pierre, son épouse Catherine et leurs deux garçons de l'héberger chez eux à Paris. Mais très vite, Jean-Pierre et Catherine Billard, des gens sympathiques et doux, se rendent compte de leur erreur: Tatie Danielle n'a rien de la brave mamie qu'ils pensaient connaître ... Qui saura maîtriser l'insupportable vieille dame?
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J’étais dans une imprimerie, en Enfer, et je vis la méthode par laquelle est transmis, de génération en génération, le savoir.
Dans la première chambre, était un Dragon-homme, balayant les gravats à la bouche d’une caverne ; à l’intérieur, plusieurs dragons approfondissaient la caverne.
Dans la seconde chambre, était une vipère enroulée autour du roc et de la caverne et d’autres ornant celle-ci avec de l’or, de l’argent et des pierreries.
Dans la troisième chambre, je vis un aigle, dont les ailes et les plumes étaient d’air ; et il rendait l’intérieur de la caverne infini ; alentour, nombre d’aigles, pareils à des hommes, édifiaient des palais sur les rocs immenses.
Dans la quatrième chambre, des lions de flamme ardente tournaient furieux, et fondaient les métaux en fluides vivants.
Dans la cinquième chambre, des formes sans nom jetaient les métaux dans l’espace.
Ceux-ci étaient reçus dans la sixième chambre par des hommes ; ils y prenaient l’aspect de livres et formaient des bibliothèques.
"Le mariage du Ciel et de l'Enfer" William Blake *
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