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    En 1974, Lise Payette et Jacques Fauteux de la télévision de Radio-Canada se rendent en Europe rencontrer Serge Gainsbourg, l’artiste au physique ingrat, celui qui s’est surnommé l’homme à la tête de chou, pour l’émission «Appelez-moi Lise». Échange sur la vie et la carrière de cet iconoclaste de la chanson française. Durant cette entrevue, l’animatrice interpelle l’auteur entre autres sur son goût pour la provocation. Se remettant de sa première crise cardiaque et grillant gitane sur gitane, Serge Gainsbourg ne nie pas qu'il cherche à provoquer. Source : Appelez-moi Lise, 2 décembre 1974

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    Le 5 bis rue de Verneuil dans le VIIe arrondissement de Paris est bien plus qu’une adresse. C’est une maison qui raconte un artiste. Un lieu qui garde l’empreinte de celui qui a marqué la chanson française de ses textes ciselés, de ses mélodies singulières et de ses frasques, Serge Gainsbourg. Pénétrer dans ce grand cabinet de curiosités, qui fut un lieu de création, le théâtre de la vie de famille avec Jane Birkin et leur fille Charlotte puis un refuge solitaire, c’est s’intéresser à l’homme, à son intimité, à ses amours, et à son œuvre. Chaque pièce de cet hôtel particulier habité pendant vingt-deux ans évoque une rencontre, à commencer par celle qui a déclenché cet achat, Brigitte Bardot. Chaque objet révèle un détail de son histoire, un aspect de sa personnalité. Le 5 bis rue de Verneuil dévoile un autre Serge Gainsbourg, loin de l’image provocante qu’il aimait donner pour exister toujours un peu plus, derrière cette façade couverte de graffitis, dans cet univers méticuleusement organisé et soigné.

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