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  • Le malheur en tout ceci, c’est qu’il n’y a pas de peuple, au sens touchant où vous l’entendez, il n’y a que des exploiteurs et des exploités, et chaque exploité ne demande qu’à devenir exploiteur. Le prolétariat héroïque, égalitaire, n’existe pas. C’est un songe-creux, une...

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  • ...en URSS se sont soldés par plus de conflits ethniques que nulle par ailleurs au monde. Un des buts grandioses de l’URSS était de détruire les états nations. C’est exactement ce que nous voyons en Europe aujourd’hui. Bruxelles a l’intention de phagocyter les états nations pour...

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  • ...conquérir sa vie, si exécrables que soient ses moyens, ne peut pas être méprisable. Ce que je méprise, c’est l’existence que je mène, moi ; que je suis condamné à mener pendant des années encore. Instruction ; éducation. On m’élève . Oh ! l’ironie de ce mot-là !…...

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  • ...possibilité de la contradiction de cette prescription avec les actes qui en découlent. L’abstinence, c’est-à-dire ne pas manger et devenir incapable de servir les hommes ! Ne pas tuer les animaux : c’est-à-dire leur permettre de nous dévorer ? Ne pas boire de vin ; c’est-à-dire ne...

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  • Plume et encrier : « C’est pourtant extraordinaire, tout ce qui peut sortir d’un encrier ! » Ces paroles, vous auriez pu les entendre, si vous vous étiez trouvé un certain jour dans le cabinet d’un grand poète. Sur la table était un bel encrier : c’était lui qui discourait ainsi...

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  • ...de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres...

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  • ...peur d’être un pauvre — et j’aime l’argent. Oui, j’aime l’argent ; je n’aime que ça. C’est l’argent seul, je l’ai assez entendu dire, qui peut épargner toutes les souffrances et donner tous les bonheurs ; c’est l’argent seul qui ouvre la porte de la vie, cette porte au...

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  • ...Mal » est un vide, Qui doit être comblé, Qui doit toujours s’attaquer A quelque chose. C’est pour cela qu’il est actif, Plus fort que le « Bien », Qui est passif, Qui se suffit à lui-même. Et pourquoi le « Mal », Est-il un vide ? Le « Mal » est un vide, Car il ne...

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  • ...personne se forme au cours de ses conflits avec le mal qui existe en elle-même et autour d’elle. C’est un des paradoxes de la personne que la conscience de la personne suppose l’existence du mal et du péché. L’insensibilité pour le mal, le péché, la faute va de pair avec...

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  • ...finissent-ils par se retrouver les mains et l’esprit tendus par les même désirs. A la conquête du bonheur. C’est en vue d’elle que les pères et mères nous préparent, nous fortifient, dès le jeune âge. Que de moyens, que de méthodes, que de systèmes ! Et le bonheur s’enfuit loin...

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