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Par Cruella dans La tendresse, c'est seulement de la cruauté qui se repose le 16 Janvier 2023 à 09:40Cinquante ans après sa mort, l’œuvre de Georges Bataille* occupe, chez Gallimard, douze gros volumes, publiés de 1970 à 1988, et la bibliothèque de la Pléiade a accueilli, en 2004, ses Romans et récits . Pourtant, l’écrivain s’est, longtemps, comme dérobé à toute célébration...
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...couteau criant Mon vit sanglote de salive Ton derrière est ma déesse Il s'ouvre comme ta bouche Je l'adore comme le ciel Je le vénère comme un feu Je bois dans ta déchirure J'étale tes jambes nues Je les ouvre comme un livre Où je lis ce qui me tue. Georges Bataille *
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ma folie et ma peur ont de grands yeux morts la fixité de la fièvre ce qui regarde dans ces yeux est le néant de l’univers nos yeux sont d’aveugles ciels dans mon impénétrable nuit est l’impossible criant tout s’effondre Georges Bataille *
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Par Cruella dans La tendresse, c'est seulement de la cruauté qui se repose le 31 Décembre 2016 à 13:44...s'approche, et l'approche de cette chose commence par m'épuiser. Je suis comme un soldat qui livrerait ses batailles avant de les livrer, qui en connaîtrait la lassitude avant qu'elle aient lieu. Ensuite, quand je me suis bien reposée, tout est simple. La bataille quand elle a vraiment lieu,...