• L'homme a-t-il atteint les limites de la cruauté? Hélas, son imagination est sans borne. Lisez...

    Des femelles orang-outans prostituées dans des bordels

    Les faits remontent à 2007 mais l’information a été massivement diffusée il y a quelques semaines seulement. A Bornéo, une fondation en faveur de la protection des oran-outang a organisé la libération d’une jeune femelle de la race qui venait de passer plusieurs années en captivité, prostituée dans un bordel de campagne.

    La femelle orang-outan a ainsi été victime de sévices sexuels pendant plusieurs années avant d’être finalement libérée, une libération qui aura mis un an à voir le jour et qui aura nécessité l’artillerie lourde (35 policiers armés) tant sa proxénète était peu encline à perdre sa poule aux œufs d’or et ses habitués récalcitrants à l’idée de devoir renoncer à leur bien docile Pony.

    Dans cette affaire où le mot sordide prend tout son sens, l’on apprend comment l’animal vivait enchaîné et était quotidiennement rasé afin de revêtir une apparence plus à même de convenir à sa clientèle et aussi proche que possible de celle d’une femme.

    Maquillée, parée de bijoux et autres artifices censés la rendre plus "humaine", la pauvre femelle orang-outan ainsi séquestrée et prostituée a enchaîné les "passes" quotidiennes pendant des années avant de pouvoir enfin être libérée et prise en charge par l’association indonésienne Borneo Orangoutan Survival Foundation (3). Ce fait divers laisse imaginer qu’il est peu probable que le cas de Pony soit isolé et de telles pratiques seraient toujours d’actualité en Indonésie ainsi que dans d’autres pays tels que la Thaïlande où, vraisemblablement, la prostitution infantile semble ne pas suffire...

     

    Le Nouvel Observateur - Eve Gratien Chroniqueuse

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  • Tendre matin

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    Un plan de stérilisation massive (eugénisme), financé par le Royaume Uni

     

    Chaque année, sous la bienveillance des autorités indiennes, environ un million de femmes issues des régions pauvres sont stérilisées pour tenter de juguler la croissance démographique de l’Inde.

    Un camp de stérilisation a été installé dans une école.
    En janvier, près de 80 femmes y auraient été opérées en l’espace de trois heures. La police a perquisitionné les bureaux d’une ONG en charge du camp et a trouvé une vidéo révélant que les femmes y étaient maltraitées.

    De récents rapports révèlent que de nombreuses ONG auxquelles le gouvernement recourt pour faire fonctionner les camps de stérilisation sont en fait financées par des fonds d’aide du Royaume-Uni. Depuis 2005, la Grande-Bretagne a fait don de plusieurs millions de livres à l’Inde, pour financer les stérilisations.

    Théorie selon laquelle la surnatalité en Inde, serait responsable des gaz à effet de serre.

    Un document récent montre que le Royaume-Uni serait intéressé à réduire la population de l’Inde – pour “réduire les gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement de la planète”. Ne s’agirait-il pas d’une manipulation pour imputer ces fonds à une ligne de crédit dédiée à la protection de l’environnement?

    Le Dr Abhijit Das, directeur du Centre for Health and Social Justice (interview en anglais) estime qu’”il y a comme un relent de colonialisme, de racisme et un retour au contrôle démographique de l’époque coloniale. Comme vous n’arrivez pas à gérer vos propres émissions, du fait de votre consommation excessive d’énergie, vous venez dire que les pauvres sont la cause de tous les gaz à effet de serre – c’est tout simplement ignoble “.

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  • Le sommeil qui se pose sur les yeux de Bébé, quelqu’un sait-il d’où il vient ? Oui, le bruit court que dans la forêt ombreuse il habite un village de fées, éclairé par les vers luisants. Là, deux boutons de pavot enchanté s’ouvrent comme en émoi : c’est de là que le sommeil part pour venir baiser les yeux de Bébé.

     

    Le sourire qui palpite sur les lèvres de Bébé, quand il sommeille, quelqu’un sait-il où il est né ?

     

    Oui, le bruit court qu’un rayon jeune et pâle du  croissant de la lune effleura le bord d’une nuée d’automne prête à disparaître et là, dans le rêve d’un matin trempé de rosée, naquit le sourire qui palpite sur les lèvres de Bébé quand il sommeille.

     

    La fraîcheur douce et veloutée qui s’épanouit sur les membres de Bébé, quelqu’un sait-il où elle a été cachée si longtemps ?

    Oui, quand sa mère était jeune, la fraîcheur douce et veloutée qui s’épanouit aujourd’hui sur les membres de Bébé emplissait son cœur virginal : tendre et silencieux mystère d’amour !

    "La jeune lune" Rabîndranâth Tagore

     

    Bébé:
    Attention
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  • Depuis le temps de Moïse, l’opinion publique a considéré la cupidité, la luxure et la cruauté comme des crimes, et les a condamnés comme tels. Elle condamne et désavoue chaque forme que cette cupidité peut prendre, non seulement l’acquisition de la propriété d’un autre homme par la violence, la fraude et la ruse, mais aussi l’abus cruel de la richesse. Elle condamne toute formes de luxure, que ce soit l’impudicité avec une maîtresse, une esclave, une femme divorcée, ou avec sa femme; elle condamne la cruauté non seulement envers les êtres humains mais envers les animaux. Alors que la loi, basée sur la violence, s’attaque seulement à certaines formes de cupidité, telles que le vol et la fraude, et certaines formes de luxure et de cruauté, telles que l’infidélité conjugale, l’assaut et le meurtre; et elle semble ainsi appuyer (tacitement) ces manifestations de la cupidité, de la luxure et de la cruauté qui ne tombe pas dans ses limites étroites. *

    La violence démoralise l’opinion publique, et en plus, elle entretient dans l’esprit des hommes la conviction pernicieuse qu’ils avancent non par l’impulsion d’un pouvoir spirituel, - ce qui les aiderait à comprendre et réaliser la vérité en les amenant plus près de cette force morale qui est la source de tous les mouvements progressifs de l’humanité,- mais par ce même facteur qui non seulement entrave notre progrès vers la vérité, mais nous l’enlève. C’est une erreur fatale, dans la mesure où elle inspire dans l’homme du mépris pour le principe fondamental de sa vie,- l’activité spirituelle,- et le conduit à transférer toute sa force et son énergie sur la pratique de la violence extérieure.

    C’est comme si les hommes voulaient mettre en branle une locomotive en tournant ses roues avec les mains, ne sachant pas que l’expansion de la vapeur était le principe moteur réel, et que l’action des roues était l’effet et non la cause. Si de leurs mains et leviers ils bougeaient les roues, ce n’est encore qu’un semblant de mouvement, ou brisant les roues et les rendant inutiles.

    "Le salut est en vous" L. Tolstoï

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