•  

    Après le covid qui a épuisé les Français pendant deux longues années, l’Ukraine est venue ajouter la crainte d’une guerre mondiale. Et à l’heure actuelle, on risque de se geler les miches… d’où l’idée géniale d’acheter des cols roulés, de prendre l’ascenseur pour atteindre le 6e étage et d’allumer des bougies, afin d’éviter de consommer trop d'énergie au risque de cramer dans nos maisons.

     

    Cette période — aussi horrible soit-elle — est un moment de l’histoire où l’expression artistique peut s’exprimer grâce à la nullité abyssale de nos dirigeants et à la bêtise qui en découle. Nos cocaïnomanes qui mènent le monde tentent le tout pour le tout, afin de gagner un combat perdu d’avance car depuis que le monde est monde, tous les empires ont chuté et cette année c’est Poutine qui gagne le gros lot à la kermesse mondiale. Puisque, en ces temps, on manque d’énergie et que j’en ai à revendre, voici mon 4-4-2 « spécial énergie » pour comprendre pourquoi et à quel point ceux qui nous gouvernent sont vraiment des cons finis.

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • par Christine Deviers -Joncour

    Parmi mes nombreuses recherches sur l'Histoire, je trouve ce document qui date un peu 1925 et dont la préface de plus 20 pages m'interpelle.... Surtout les cinq dernières lignes!!! On y est !!!! On en apprend toujours plus. Lisez jusqu'au bout. Je vous donne à lire un extrait : …… « Les loges maçonniques sont dirigées par les juifs qui en orientent les manifestations et la propagande. Les peuples chrétiens seront un jour tellement désemparés qu’ils réclameront un super gouvernement universel émanant des juifs. Des guerres particulières et un conflit mondial qu’Israël saura déchaîner hâteront son règne. L’autocratie juive remplacera le libéralisme des Etats chrétiens. Toutes les religions seront abolies sauf celle de Moïse. Pour montrer leur pouvoir, les Juifs terrasseront et asserviront par l’assassinat et le terrorisme un des peuples de l’Europe. Un impôt progressif sur le capital et des emprunts d’Etat achèveront de ruiner les chrétiens qu’un enseignement athée aura démoralisés; et l’heure, si longtemps attendue, sonnera. Le roi des Juifs, incarnation du Destin, régnera sur l’univers dompté. Il est bon d’en méditer les divers chapitres, de comparer leur texte à d’autres documents d’origine hébraïque et d’observer dans quelle mesure ont été réalisés, pendant et depuis la guerre, les faits prévus et les événements annoncés dans des feuillets écrits vingt ans auparavant. Le troisième chapitre de ces leçons des Sages d’Israël contient une allusion au Serpent qui symbolise la marche progressive d’Israël vers la domination universelle. Serge Nilus, dans l’épilogue de son livre, dont les versions américaine et allemande n’ont pas donné la traduction, fournit de curieux détails sur ce symbole de la puissance juive, à jamais victorieuse, lorsqu’elle aura encerclé les Etats européens. D’après les traditions judaïques, cette prédiction remonterait au temps de Salomon. La tète du serpent représente les dirigeants, les initiés d’Israël. Elle pénètre au cœur de chacune des nations pour les corrompre, les détruire ; et, partie de Sion, elle doit y revenir après avoir accompli le cycle de ses conquêtes. Les Sionistes ont depuis longtemps dressé la carte où est tracé l’itinéraire du reptile et sur cette carte en sont marquées les grandes étapes parcourues et à parcourir. La première le conduit en Grèce, au temps de Périclès, en l’an 429 avant Jésus-Christ ; c’est sous le règne d’Auguste, un peu avant la naissance de Jésus Christ que la tête du Serpent pénétra dans Rome. Madrid la vit apparaître sous Charles Quint ; Paris, au déclin du règne de Louis XIV ; Londres, à la chute de Napoléon ; Berlin en 1871, après les apothéoses du traité de Versailles ; Pétersbourg en I881. Il est notable que tous les Etats, sur lesquels le Serpent laissa sa trace baveuse, furent ébranlés jusque dans leurs fondations par des crises politiques et sociales. La carte indique par des flèches les dernières étapes : Moscou, Kiev, Odessa, Constantinople et enfin Jérusalem, point de départ et point terminus du Fatal itinéraire. …. » !!!!!!!

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Wahabi Ukrainians.. Hopefully they'll be sent to the frontlines to make hopeless charges across open fields in broad daylight.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Si j'avais pu l'écrire pendant un rêve pourquoi ne pouvais-je pas le récrire pendant un rêve éveillé? Est-ce que l'un de ces états est tellement différent de l'autre? Puisque je me suis aventuré jusque-là, pourquoi ne pas compléter ma pensée et ajouter que mon unique but en écrivant a été d'éclaircir un mystère. (Je n'ai jamais dit ouvertement ce qu'était ce mystère.) Oui, depuis le jour où j'ai commencer à écrire sérieusement on seul désir a été de me décharger de ce livre que je portais en moi, bien enfoui sous ma ceinture, sous toutes mes latitudes et toutes les longitudes, dans toutes mes douleurs et toutes mes vicissitudes. Arracher ce livre du fond de moi, le rendre chaud, vivant, palpable ... voilà quels étaient mon grand but et ma préoccupation ... Ce magicien barbu qui apparaît au cours d'instants de la vie onirique, caché dans un petit coffre - un rêve de coffre, pourrait-on dire -, qui est-il sinon moi-même, mon moi le plus ancien? Il tient un trousseau de clefs dans les mains, n'est-ce pas?  Et il se trouve au centre clef de tout l'édifice mystérieux. Eh bien alors, qu'est-ce que ce livre manquant, sinon "l'histoire de mon cœur", comme le nomme si magnifiquement Jefferies. Un homme a-t-il une autre histoire à raconter que celle-là?  Et n'est-ce pas la plus difficile de toutes à raconter que celle-là? Et n'est-ce pas la plus difficile de toutes à raconter, celle qui est la plus cachée, la plus abstruse, la plus déroutante?

    Le fait que nous lisions même dans nos rêves est remarquable. Que lisions-nous, que pouvons-nous lire dans les ténèbres de l'inconscient, sinon nos pensées les plus profondes? A aucun instant, les pensées ne cessent d'agiter notre cerveau. Parfois, nous percevons une différence entre les pensées et la pensée, entre ce qui pense et l'esprit qui est toute pensée. Quelquefois nous entr'apercevons, comme par une petite fente, notre double personnalité. Le cerveau n'est pas l'esprit, nous pouvons en être sûrs. S'il était possible de localiser le siège de l'esprit, il serait plus juste de le situer dans le cœur. Mais le coeur est simplement un réceptacle, ou un transformateur, par le truchement duquel la pensée devient reconnaissable et efficace. La pensée doit passer par le cœur pour être rendue active et prendre un sens.

    Henry Miller "Les livres de ma vie"

    Partager via Gmail

    votre commentaire