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    Le public a été conditionné à répondre au mot « conspiration » avec un sourire narquois et un petit rire. La conspiration, en d’autres termes, est pour les fous et les solitaires, et ne doit pas être prise au sérieux. De cette façon, à travers l’association médiatique du concept de complot avec des éléments marginaux ou extrêmes, les vrais conspirateurs passent inaperçus.

    C’est un point vital…

    Les véritables complots des politiciens, du FBI, des lobbyistes, des compagnies de tabac, de Big Pharma, etc, passent à la trappe et les médias grand public n’en parlent pas… Bien au contraire, à l’ère du Dieu COVID, les détracteurs de la pensée universelle des véritables comploteurs est littéralement bannie du discours existant. Seule la propagande des « Frères de l’Ombre » est largement médiatisée et érigée en vérité ultime.

    Le revers de la médaille de la théorie du complot a toujours été la prolifération de théories fantaisistes et fantastiques qui sillonnent le monde en quelques secondes à l’aide des réseaux sociaux, grâce à l’activité ininterrompue des trolls du gouvernement fantôme.

     

     

    La diffusion d’Internet a démocratisé la théorie du complot

    Des millions de personnes ont désormais les moyens de publier leur propre analyse unique de ce qui se passe. Une conséquence nécessaire de cette croissance massive de l’édition numérique personnelle est qu’il devient beaucoup plus difficile de trouver des perles parmi les ordures. Quelqu’un a même observé qu’à l’ère d’Internet, si vous voulez garder quelque chose secret, vous le rendez public… Lire ici

     

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