• Le macronisme, stade suprême du néo-libéralisme

     

    Emmanuel Macron (13) est un dictateur « reptilien », pour parler comme certains complotistes ; il manifeste un appétit aiguisé de destruction. Pour d'autres analystes politiques, c'est un réplicant. Loteur s'est renseigné auprès de Rick Deckard, le blade runner bien connu, qui écoule avec Rachel des jours de retraite heureux en Californie. Ce dernier n'a pu que confirmer les soupçons de ces analystes. Par bonheur ce réplicant, qui serait produit par la Gafam Corporation, aurait une durée de vie limitée (cinq ans).

    Comme tous les dictateurs, Macron gouverne par la peur et par le chaos. L'État agite les deux bras de la dictature : la police pour la répression, et les media pour la propagande ; la police, dans un premier temps () dirigée par un ancien ami d'un truand marseillais (14) et les media, avec la meute hurlante des chiens de l'information, la bave à la gueule et montrant les crocs envers quiconque ne suit pas ou conteste la doctrine (= règles, directives) officielle. Inutile de revenir sur le chaos, entretenu par les nombreux mensonges du gouvernement, par ses directives incohérentes et contradictoires, par ses mesures (volontairement ?) inadaptées. De toute façon, la France est devenue le Bordelistan. Et après avoir instauré ou encouragé le chaos absolu, notre président de la République, nimbé de gloire, pourra assumer pleinement son rôle sotériologique (salvateur) et christique — comme il aime à le rappeler lui-même, et en cela il n'est pas jupitérien (★★) pour rien — en imposant abruptement des mesures plus iniques les unes que les autres.

    () Dans un second temps, après le changement ministériel de juillet 2020, c'est un science'polien de la droite grise, soupçonné d'acte d'amour, qui dirige notre honorable police.

    (★★) Il se prétend « maître des horloges », celui qui règle l'ordre des choses et qui décide de leur calendrier. Mais l'astrologue du coin vous le dira : les horloges, le temps [Chronos] c'est une composante saturnienne et non jupitérienne. Il y a confusion des valeurs. D'autre part, ses nombreux cafouillages à propos du calendrier des confinements / déconfinements prouvent qu'il ne maîtrise absolument pas le temps, et qu'il n'est donc pas le « maître des horloges », comme l'antique dieu Saturne-Chronos.


    Quant à la peur, si on ne suit pas les règles, le gouvernement distribue les amendes à la volée ou même des peines de prison, et on a vu les pandores verbaliser les citoyens, et même des SDF, dans les villes, les forêts, les plages. C'était la chasse au citoyen, consciencieusement menée par la flictature française. Curieusement, ces mesures répressives ne s'appliquaient pas à certaines parties de la population et ce, sur ordre même de la hiérarchie policière, trop respectueuse de la diversité culturelle (15).

    Il est aussi une forme de peur que cultive le gouvernement, c'est la suspicion permanente qu'il entretient entre les citoyens : « contaminé ou non-contaminé ? évitons-le » - tel est le réflexe que nombre de personnes adoptent quand elles rencontrent quelqu'un. Or, quelle est la peur la plus horrible qu'un gouvernement puisse inspirer ? C'est celle de la mort. Avec la peur de l'infection par le corona-virus, et le risque d'en mourir, pas la peine de rétablir la peine de mort : la crainte du corona-virus suffit. Les politicards, les politocards du gouvernement se sont faits, volens nolens, les complices de la mort. « Quousque tandem ils vont nous emmerder avec leurs règlements alacon ?  » se demande loteur en voyant des files d'attente, les gens sagement espacés d'un mètre devant des magasins.

    Loin d'être l'immense cafouillage que l'on décrit complaisamment, la situation actuelle ressemble davantage à une politique délibérée de mise en danger (de mort) de la population par des autorités afin d'asseoir une nouvelle forme de tyrannie. Nous vivons une époque de glaciation sociale ; c'est la nouvelle ère glaciaire du Quaternaire : glaciation qui touche l'économie, la vie sociale et culturelle, l'Éducation nationale, les universités... rien n'y échappe. C'est une forme de mort sociale. Cette histoire de pandémie semble être la plus grande entreprise de manipulation et de mystification qui ait jamais existé. Il est évident que l'épidémie sert de prétexte pour brimer les citoyens. Dans cette optique, on parle de l'« après-confinement ». Il est à craindre que cet après-confinement soit assurément conçu pour instaurer une nouvelle forme de société autoritariste, dictatoriale, voire fasciste. Advienne que pourra, advienne que pourri.

    Le gouvernement, par son impéritie, a envoyé à la mort, sans remords, des membres du personnel de santé, de nombreux vieillards et des citoyens. Il a contraint à la faillite de nombreux chefs d'entreprise, voire va être la cause d'un certain nombre de suicides. Le gouvernement a du sang sur les mains. On peut ici parler d'État criminel, qui se comporte comme s'il voulait perpétrer un génocide contre le peuple français. Des médecins ont porté plainte contre les membres du gouvernement auprès de la Cour de justice de la République. En raison de l'indulgence de cette Cour, il est à parier que les membres du gouvernement s'en sortiront, sinon blanchis, du moins avec un simple blâme. D'innombrables plaintes au pénal vont être portées par des citoyens ordinaires qui pleurent la perte d'un proche. L'auteur, quant à lui, préconise la déchéance de la nationalité française pour tous les membres du gouvernement et tous les responsables de la situation catastrophique que nous avons vécue, avec confiscation des biens, et l'exil en Terre Adélie, loin, très loin de la France. Malheureusement, la « double peine » ne s'applique plus.

    Notes:

     

    (13) Contrairement à ce qu'on pourrait penser, Emmanuel Macron n'est pas le frère de sœur Emmanuelle, surnommée « la petite sœur des pauvres » — bien que certains Larèmes pensent qu'il accomplit une œuvre "caritative" en ruinant la France des gagne-petit, des humbles, des miséreux, des obscurs, des sans-grade... Certains, par dérision, l'appellent « sir Emmanuel », en référence à sir Winston Churchill, dont il est un fervent admirateur. Si sœur Emmanuelle était la petite sœur des pauvres, sir Emmanuel, lui, est le « le grand frère des riches ».

    (14) Vidocq, aventurier, délinquant, bagnard puis indicateur de la police a fini comme chef de la « brigade de sûreté » de la préfecture de police de Paris ; il est aussi devenu détective privé. Il a renouvelé les méthodes de police, notamment avec le système d'indics et d'infiltrations. Alors, flic ou voyou ?

    Quant à l'ancien ministre de la Police, le jeune et sympathique père La Castagne, ancien joueur de poker menteur, il était très lié avec Christian Oraison, un caïd de la pègre des Alpes-de-Haute-Provence, membre de la Dream Team, abattu en 2008. La Castagne déclare à son sujet : « C'était mon grand frère, mon protecteur. Il m'appelait l'étudiant ». Les camarades du Parti socialiste l'appellent, eux, Simplet (du nom du nain de Blanche Neige et les sept nains), à cause de ses bévues et de ses lapsus. L'ancien pote d'un truand, qui plus est « Simplet » à la tête de la police, au fond, ça colle bien.


    (15) Lors de manifestations en hommage à un noir américain décédé à la suite d'une arrestation par la police aux États-Unis, on a vu qu'à Paris la fameuse distanciation sociale et les non moins fameux gestes barrières n'ont pas du tout été respectés — bien que l'on puisse voir nombre de personnes portant des masques, autant pour se protéger que pour dissimuler leur visage sans doute. En ce qui concerne les règles de protection, un prodigieux crétin a déclaré : « L'émotion dépasse les règles juridiques », pour justifier la tolérance envers les manifestations. Comme si l'émotion faisait partie de l'arsenal judiciaire...

     

    Vocabulaire de la pandémie à l'usage des gens instruits et bien-comprenants, qu'ils soient vaccinés ou non

     

     


     

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