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Par Cruella le 10 Mars 2012 à 16:41
Pendant les cérémonies Dhirk, tous les participants répètent le nom d’Allah dans un système de respiration hypnotique qui les amènent à une sorte de transe paisible, tandis que le Sheikh psalmodie un poème qui peut être religieux ou profane. En l’occurrence il s’agit d’un chant de paix que le Sheikh, illuminé par les premières mesures de Mozart, a continué dans une improvisation vertigineuse jusqu’à l’entrée des choeurs du Requiem. Au solo de la jeune Bulgare Vahina (10 ans) répond le chant Copte de la petite Monica (8 ans). La tradition Copte a gardé les chants Pharaoniques. Cette mélodie est, dit on, celle qui accompagnait l’embaumement des momies. Elle est maintenant chantée tous les Vendredi Saint, et le texte reproduit les dernières paroles du Christ aux deux larrons.
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