• La race aryenne

     

     

    La race aryenne ou indo-européenne possède seule la notion de la justice, le sentiment de la liberté, la conception du Beau.

    Les civilisation sémitiques si éclatantes qu'elle paraissent, dit très bien M.Gellion-Danglar, ne sont que de vaines images, des parodies plus ou mains grossières des décors de carton peint que certaines gens ont la complaisance de prendre pour des oeuvres de marbre et de bronze. Dans ces sociétés artificielles le caprice et le bon plaisir sont tout et sont seulement couverts du nom prostitué justice qui n'est rien... Le bizarre, le monstrueux y tiennent la place du beau et la profusion a banni de l'art le goût et la décence. Le Sémite n'est point fait pour la civilisation et pour l'état sédentaire. Au désert, sous la tente, il a sa beauté, sa grandeur propre, il suit s voie, il forme harmonie avec le reste de l'humanité. Ailleurs, il est déplacé, toutes ses qualités disparaissent: ses vices ressortent. Le Sémite, homme de proie dans les sables de l'Arabie, héroïque dans un certain sens, devient un vil intrigant dans la société.

    Dès les premiers jours de l'histoire nous voyons l'Aryen en lutte avec le Sémite. Ilion était une  ville toute sémitique et le duel entre deux races explique le retentissement particulier qu'eut la guerre de Troie. Le conflit se perpétua à travers les Ages et presque toujours c'est le Sémite qui a été le provocateur avant d'être le vaincu. *

    Le rêve du Sémite, en effet sa pensée fixe a été constamment de réduire l'Aryen en servage, de le mettre à la glèbe. Il a essayé d'arriver à ce but par la guerre, et Littré a montré, avec sa lucidité habituelle, le caractère de ces grandes poussées qui faillirent donner aux Sémites l'hégémonie du monde. Annibal qui campa sous les murs de Rome fut  bien près de réussir. Abdérame qui, maître de l'Espagne, arriva jusqu'à Poitiers, put espérer que l’Europe allait être à lui. Les ruines de Carthage; les ossements de Sarrasins que la charrue rencontre parfois  dans les champs, où triompha Charles Martel, racontent quelle leçon fut donnée à ces présomptueux.

    Aujourd'hui le Sémitisme se croit sûr de la victoire. Ce n'est plus le Carthaginois ou le Sarrasins qui conduit le mouvement, c'est le juif, il a remplacé la violence par la ruse. A l’invasion bruyante a succédé l'envahissement silencieux, progressif, lent. Plus de hordes armées annonçant leur arrivée par des cris, mais les individualités séparées, s'agrégeant peu à peu en petits groupes, se mettant à l'état sporadique, prenant possession sans éclat de toutes les places, de toutes les fonctions d'un pays depuis les plus basses jusqu'aux plus élevées. Au lieu d'attaquer l'Europe en face, les Sémites l'ont attaquée à revers : ils l'ont tournée, dans les environs de Wilna, ce Vagina Judeorum, se sont organisés des exodes qui ont occupé Allemagne, franchi les Vosges et conquis la France.
    Rien de brutal, je le répète, mais une sorte de prise de possession douce, une manière insinuante de chasser les indigènes de leurs maisons, de leurs emplois, une façon moelleuse de les dépouiller de leurs biens d'abord, puis de leurs traditions, de leurs moeurs et enfin de leur religion. Ce dernier point, je le crois, sera la pierre d'achoppement. *
    Par leurs qualités comme par leurs défauts les deux races sont condamnées à se heurter.
    Le Sémite est mercantile, cupide, intrigant, subtil, rusé, l'Aryen est enthousiaste, héroïque, chevaleresque, désintéressé, franc, confiant jusqu'à la naïveté. Le Sémite est un terrien ne voyant guère rien au-delà de la vie présente, l'Aryen est un fils du ciel sans cesse préoccupé d'aspirations supérieures, l'un vit dans la réalité, l'autre dans l'idéal.
    Le Sémite est négociant d'instinct, il a la vocation du trafic, le génie de tout ce qui est échange, de tout ce qui est une occasion de mettre dedans son semblable. L'Aryen est agriculteur, poète, moine et surtout soldat, la guerre est son véritable élément, il va joyeusement au-devant du péril, il brave la mort.
    Le Sémite n'a aucune faculté créatrice, au contraire l'Aryen invente, pas la moindre invention n'a été faite par un Sémite. Celui-ci par contre exploite, organise, fait produire à l'invention de l'Aryen créateur des bénéfices qu'il garde naturellement pour lui. *

    Drumont Edouard - La France juive, Tome I (extrait 1)

     

     

     

     

     

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