• Si des hommes honnêtes ...

     

    Si des hommes honnêtes, éloquents, croyants comme M. Lucien Brun ou M. de Ravignan, étaient au courant de ces questions (1), ou s'ils avaient le courage de les traiter franchement, ils auraient pu placer le débat sur son vrai terrain. Ils n'auraient pas changé le vote évidemment, mais ils auraient montré l'action de cette race qui, non satisfaite de se faire une place prépondérante dans une société qu'elle n'a pas créée, veut en modifier toutes les coutumes et toutes les lois à son point de vue personnel, ils auraient prononcé un de ces discours qui font réfléchir les penseurs, qui préparent l'opinion aux mesures que la France sera obligée de prendre sous peine de périr. Au lieu de cela, ils se renferment dans des généralités pieuses, qui n'ont aucune efficacité parce qu'elles ne s'appliquent à aucune réalité. On comprend le dédain qu'éprouvent pour des contradicteurs aussi nuageux des hommes comme Naquet.
    Non content d'avoir introduit dans le Code le divorce juif, Naquet intervient pour défendre les intérêts des tripoteurs dans la discussion sur les compagnies de transports maritimes, en s'opposant à la proposition de Raspail demandant que les membres du Parlement ne fassent pas partie des conseils d'administration.
    Enfin Naquet sert la juiverie dans la question qui lui tient le plus à coeur, il fait voter par la Chambre l'abrogation de l'article 1965 du Code civil.
    Jusqu'ici, quand un malheureux avait acquis la preuve évidente qu'il avait été volé à la Bourse comme dans un bois, pipé comme dans un tripot par des financiers israélites, il avait la ressource de se réfugier derrière l'exception de jeu, il sauvait parfois ainsi un lambeau de son patrimoine, la dot de sa fille, le pain de ses vieux jours. Grâce à la loi votée à l'instigation de Naquet, l'infortuné goy devra remettre à Shylock jusqu'à son dernier sou. Tout y passera.

    _________________

    (1) M de Gavardie, un catholique courageux cependant, avait une excellente occasion de constater l'envahissement du Juif parmi nous, lors de la discussion de la loi sur la liberté de l'argent, loi toute juive encore et qui est la légalisation de l'usure. Dans son discours du 1er décembre 1885, Il a parlé de Moïse, mais il n'a pas dit un mot des Rothschild et des banques juives, aussi ce discours qui aurait pu être intéressant, au point de vue de la question sociale, n'a-t-il aucune signification, il ne répond à rien.
    M. de Lareinty qui est, je crois, en froid avec les Rothschild après avoir été très bien avec eux, n'a pas dit un mot d'eux non plus. Aucun catholique n'a discuté d'une façon vivante et actuelle cette loi qui clôt par le triomphe d'Israël une lutte qui dure depuis quatorze cents ans entre l'Église et le juif qui veut dépouiller le chrétien, aucun n'a rappelé la campagne courageuse entreprise jadis contre les banquiers juif par les Franciscains, le bienheureux Bernard de Feltre, fra Barnabé de Terni, Ira Giovanni Caize.

     

    E. Drumont - La France juive, Tome I (extrait 5) *

     

     

    « Gardens Of Gehenna - The Anatomy Of Melancholy✞ W.A.S.P. — Heaven's Hung In Black (The Crow 1994) ✞ »
    Partager via Gmail

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :