• Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Ce n'était pas seulement mieux avant, c'était la France et ça ne l'est plus

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Le plus gros crime contre la liberté d’expression vient d’être révélé : “Les dossiers CTIL”

     

    Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

     

    Ce groupe s’appelle “Cyber-Thread Intelligence League”, signifiant “Ligue de renseignement du cyberespace”. Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.

     

    C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

     

    Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

     

    On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.

     

    Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.

     

    Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour “influencer” l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendes France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.

     

    On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.

     

    Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.

    Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    C’est une dépêche de l’Agence France-Presse qui apporte la nouvelle à la population. « Le président Macron a été victime en fin de matinée d’un attentat lors de la visite d’un abattoir en Aveyron. L’agresseur a été appréhendé. Il semble avoir agi seul. Visé à la tempe, le président est mort sur le coup. » Emmanuel Macron, assassiné ? Mais de quoi s’agit-il au juste ?
    « Il s’agit d’une fiction, bien évidemment ! D’une fiction politique, politiquement incorrecte. C’est un roman ! explique Marc Moustacakis, journaliste à OVALmedia. Il s’agit de dénoncer derrière la figure emblématique d’un président tout un système qui est à l’œuvre. »

    Ce livre, qui sort tout juste et est disponible sur le site www.apotastena.com, est l’œuvre de Nicolas Boucher. L’auteur, qui a souhaité conserver l’anonymat, juge la société ou plus exactement le système politico-financier qui nous entoure tyrannique.

    Marc Moustacakis qui assure la promotion du livre, répond aux questions d’Armel Joubert des Ouches, journaliste au magazine Nexus.

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique