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    Macron a réagi à la caricature de l'ambassade de Russie à Paris
    Le président français Emmanuel Macron a qualifié d'inacceptable la publication d'une caricature sur la page Twitter de l'ambassade de Russie à Paris. Il est rapporté par TASS.
    « De telles publications sont inacceptables. Le ministère français des Affaires étrangères l'a clairement fait savoir à l'ambassadeur de Russie. Nous croyons au dialogue et comptons sur un dialogue respectueux des deux côtés. L'erreur a été corrigée et j'espère que cela ne se reproduira plus", a déclaré le président français.
    Reuters avait précédemment rapporté que l'ambassade de Russie à Paris avait précédemment publié une photo montrant un corps allongé sur une table étiquetée "Europe" avec des personnages représentant les États-Unis et l'Union européenne en train d'y enfoncer des aiguilles.
    Le 25 mars, le ministère français des Affaires étrangères a convoqué l'ambassadeur russe Alexei Meshkov après avoir publié la mission diplomatique sur Twitter, ce que Paris a jugé inapproprié.
    « Ces messages sont inacceptables. Nous l'avons dit clairement à l'ambassadeur de Russie aujourd'hui. Nous essayons de maintenir un canal de dialogue avec la Russie, et ces actions sont totalement inappropriées », a déclaré le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué.
    Alexandre Tselichtchev

    Note perso : excellentes caricatures qui reflètent la russophobie orchestrée par le président Macron et la solidarité européenne

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    ANAGRAMME  ELOQUENT DE  KREMLIN : "NIK  LREM" !

     

    Étonnant, non?

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    A relire dans 15 ans.....
    Retour d'un voyage dans l'année 2035.
    « Ce matin, mon fils de 8 ans m’a fait une crise et a menacé d’appeler le 119 car je refuse qu’il aille à l’école en jupe et avec du vernis aux ongles.
    Ma fille Julie de 15 ans, qui se sent « non binaire », m’a traité de « boomer » car j’ai refusé de l’appeler « iel » en parlant d’elle et parce que je refuse de changer son prénom à l’état civil. Elle veut s’appeler « Jul » pour ne pas qu’on puisse supposer de son genre. Et aussi parce que Jul est son chanteur à succès préféré.
    Je pars au boulot à vélo car depuis la loi Hidalgo de 2026, la voiture (même électrique) est interdite dans toutes les grandes agglomérations de France. Je parcours donc 35 km tous les jours à vélo.
    Avec la chaleur de ce mois de décembre, j’arrive au boulot trempé et décoiffé. Mais ce n’est pas grave, c’est le cas de tout le monde, ici. Personne ne se regarde et personne ne se juge car c’est maintenant passible d’une amende et, éventuellement, d’une peine de prison selon la gravité de la remarque.
    Mon patron me fait savoir qu’il m’a mis un blâme car j’ai osé écrire un mail sans écriture inclusive hier et qu’une cliente s’en était plainte.
    La prochaine fois, c’est la porte, il faut que je fasse attention à ce que j’écris et à comment je l’écris. Et aussi à ce que je dis…
    Ma nouvelle collègue, qui partage mon bureau, n’est pas là aujourd’hui car c’est sa semaine de « congé menstruel ».
    C’est un congé mis en place depuis 2023 afin de «permettre aux personnes possédant un vagin » (sans distinction de genre, pour éviter d’éventuelles stigmatisations) de rester à la maison pour le motif de règles douloureuses, une semaine par mois.
    De par son absence, je peux donc exceptionnellement fermer la porte de mon bureau.
    En effet, après le mouvement MeToo, la France a imposé l’interdiction de « portes closes » lorsque des employés de genres différents travaillent ensemble.
    Certaines entreprises créent même des « espaces safe », c’est-à-dire des bureaux sans aucun homme hétérosexuel pour éviter tout risque d’agression sexuelle.
    À midi, pour la pause déjeuner, je n’apporte plus de viande dans mes plats car j’en avais marre de me faire régulièrement traiter de « carniste », « spéciste » ou carrément d’arriéré par mes autres collègues, pour la majorité, devenus végans.
    Par ailleurs, lorsque je fais les courses au supermarché et que j’ose m’acheter un rare morceau de poulet à 45€ le kilo, je me fais systématiquement dévisager par les autres clients emplis de dégoût.
    Le soir, tout en grignotant mon bol d’insectes accompagnés de pousses de soja (bien plus éco-responsable que mon bifteck d’antan), je peux enfin me distraire devant un film Netflix.
    C’est l’histoire de Napoléon, joué ici par Omar Sy, et Joséphine, sa femme, jouée par une actrice mexicaine dont le nom m’échappe.
    La parité dans ce film est parfaitement respectée et on apprend, par ailleurs, que Napoléon était bisexuel, afro-américain et musulman.
    Le film a obtenu 12 Oscars, battant ainsi le précédent record de 11 statuettes remportées par Titanic, un film désuet qui racontait l’histoire grotesque d’un couple blanc hétérosexuel privilégié qui voyageait dans un paquebot de luxe au début du XXe siècle.
    Le film terminé, je décide de me glisser dans mon lit pour continuer ma lecture du moment : "La Gloire de parent n° 1".
    Pour les plus anciens comme moi, ce livre s’appelait autrefois "La Gloire de mon père" et faisait partie de la série «Souvenirs d’enfance », de Marcel Pagnol.
    Je vais, d’ailleurs, bientôt attaquer "Le Château de parent n° 2" , qui est la suite du premier. J’ai hâte !"

    Texte copié-collé

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    Dieu a donné l'intelligence aux hommes. Tous ne l'on pas accepté, car ils s'inquiétaient d'éventuels effets secondaires...

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