• II - LE SWING DES CHOSES (5) 1/3

    Je suis très raciste. J’espère que les Noirs vont finir par enculer tous les blancs et les assombrir pour toujours. Le métissage n’est pas une solution pour empêcher le racisme mais pour l’accroître. C’est sa seule vertu…
     Tout est race dans la vie. Je prétends qu’il existe des différences essentielles entre la race noire, blanche, jaune. Les généticiens, biologistes de merde peuvent toujours noyer tous les poissons dans des histoires de sang, de rhésus coreligionnaires, de globules collègues, on ne me fera pas croire qu’on est assez scientifiquement borné pour saisir tout ce qui sépare un Russe d’un Congolais sans admettre que les races elles-mêmes n’existent pas ! Ils soutiennent ça, très pontes graves ! Pour moi, les races existent et elles ne sont pas ce que nous avons de pire en nous. Du moins quand on est dans la bonne race !…
     La plus belle race du monde, ce sont les nègres ! Sans discussion possible ! Race de splendeurs, d’élégance, de magie. Race des rites et de possessions. Les Noirs sont la race la plus noble, celle qui se fait le moins chier, celle qui contient les plus beaux spécimens de merveilles physiques, la race esthète par excellence, celle qui pue la force et la santé, la gaieté et la sagesse, la grâce et le bonheur. Je suis tellement fanatique de pannégrisme que j’ai tendance à mettre tous les nègres dans le même sac. Il ne faut pas m’en vouloir : je suis un peu comme ces « filles à Zan » qui ne jetteraient pas un regard à Delon ou Belmondo torse nu devant elles, mais courraient après la dernière des larves chocolatées de Barbès-Rochechouart ! Ils sont tous très différents et il est difficile de comparer un Éthiopien aux joues en lames de couteaux avec un bassiste funk de Chicago ! Pourtant, ça me fait bander pareillement moi ! Il me tarde, puceau, de connaître les délices épineuses d’un vagin obscur et rose large, bien fromageux au clitoris en gousse de banane fumante ! Je connais des musicos blancs qui ne peuvent plus sentir une « faïence » après avoir goûté aux sucs éminemment suaves d’un corps de Noire énorme, aux hanches à vapeur, au cuir d’or, dur de muscles déroulés dans le sang brun, la chevelure en fumée, les seins comme des gants de boxe et la toison en fer barbelé !…
     Ah ! Les boxeurs sont fantastiques ! Ce sont de grands Noirs, comme les Sorciers, les Conteurs, les Devins, les Batteurs et tous les monstres. Il peut sembler singulier qu’un être aussi peu « sportif » (à tous les sens du terme), si malingre, nul physiquement, raffiné et lâche s’intéresse à ce point à la Boxe. Or, autant je déteste les arts martiaux, toutes les chinetoqueries, les catchs et autres karatés, autant la Boxe, la grande boxe, dans sa chorégraphie, son indéniable beauté plastique et sa signification, m’enchante. Je ne prends jamais autant de plaisir qu’en voyant un match opposant la fadeur insipide d’un grand champion blanc à la consistance d’une jatte de blanc d’œuf monté qu’on exposerait au soleil, et la superbe félinité d’une viande de dieu, ébénée et dorée de lueurs, qui, d’un geste de tigre (lent et très puissant) rétame à jamais son ridicule et merdique adversaire ! Les Blancs ont quelque chose de si laid dans l’allure : en Amérique, on dirait tous des G.I. Ici, ce sont les pieds-noirs qui boxent. Dans tous les poids : des « gentlemen » stylistes aux taureaux brutaux. J’aime bien la boxe mais pas au point de m’intéresser à des pieds-noirs !
     Qu’un jour prochain, le nègre nous fasse un peu plus peur avec sa sagaie qu’avec ses aptitudes occidentales, ses leçons avalées, lois abâtardies, fleurs artificielles, dopages immondes, lampes à débronzer… Rien de plus raciste antinoir qu’un Noir américain. Quel dommage ! Les comparer à de vieux sages de la brousse, leur dire qu’ils swinguent comme sur des tam-tams, c’est se jeter dans le suicide à bras ouverts. L’africanisme n’est pas encore une évidence pour tous les Noirs. Et c’est bien normal. Les bourgeois africains, achetés d’une façon ou d’une autre par les coopérants infects qui n’entendent pas perdre cinq siècles d’esclavage comme ça, répriment eux-mêmes toutes les castes épaisses de paysans abrutis et dociles et les entraînent avec eux dans le désastre économique que leur incompétence suscite. L’Afrique devient alors une immense poubelle pour les Blancs, le moyen pour les bwanas ignobles d’élaborer de grandes fortunes dans un sang vite épongé, de surcharger le pays de dettes insurmontables pour tirer, de derrière cette fois-ci, toutes les ficelles. Les nouveaux Brazzas ne sont pas moins pires que les anciens, car bien souvent ce sont des Noirs eux-mêmes, très arrivistes et « collaborateurs », qui n’ont pas du tout envie de finir dans l’une des deux solutions irrémédiables pour le Noir d’aujourd’hui : rester en Afrique en servant les intérêts des Blancs ; ou bien s’expatrier dans les ghettos d’Europe : dans les deux cas, le nègre est bien baisé, pas assez élevé pour diriger lui-même son pays, et bien trop pour foutre dehors toute cette vermine « boche » comme les Arabes ont réussi à le faire avec tous les sales pieds-noirs. Ça c’est très bien passé moi, je trouve, la décolonisation. Je me suis fait raconter les « happy end » des grotos en détail, tous les cannibalismes, les exploits des belgicides…
     État par État, le nègre a bouté tout ce qu’il a pu de charognes coloniales. Chaque fois que j’imagine les atrocités, les vengeances horribles des Noirs sur les Blancs, je suis envahi d’une éclaboussure de fraîcheur. Des pieds, des mains, des têtes entières volent en éclats dans mon imagination, toute une boucherie délicieuse. Les échaudoirs de la race supérieure ! Les carnages des chevillards ! Ça devait swinguer !
     J’aimerais qu’ils n’aient pas fini de la payer, leur « boyisation » salope, tous les résidents abjects. Leur faire rentrer dans la gueule leur bonne parole, se servir de leurs propres techniques pour les crever et rétablir une Afrique fétichiste, spasmotique, rituelle, spirituelle. Utiliser la démortalisation pour repeupler les tribus !
     Les Bœrs, les Belges surtout, les nègres les ont-ils bien dépecés à grand renfort de coups de rasoirs ? Je veux savoir ! Les ont-ils tous bien soufflé « à la musique » ? Leur ont-ils convenablement libéré les organes des parois costales ? Sectionné la moelle ? Chatouillé la carotide ? Grand-guignolé le gésier ? Bananiagnisé à mort toutes ces carcasses d’Australiens, de Français, d’Anglais et autres raclures aphteuses ?… Ah ! Je n’en finirai pas ! Incitation à la Haine Raciale ! Un nouveau mouvement reste à créer : « Saint-Barthélemy International » !
     Il faut que les nègres retournent contre nous tout ce que nous leur avons appris. L’heure est au Grand Vomi, bien épais, acide, infectieux !… J’ai bien peur, hélas, que, pris par le jeu occidental, ils ne puissent plus revenir en arrière ! Ce n’est pas vraiment demain que le bloc suralimenté va se faire enculer par le bloc sous-alimenté. Espérons tout de même que l’Afrique, dernière mère de Beauté dans ce monde avili, ne perde pas toute la force de sa magie au profit de la séduction de la civilisation technocratique qui a déjà fait abandonner beaucoup de soucis africains, de soucis sacrés, et empêché beaucoup de talents qui n’ont pu éclore parce que privés de racines, rejetés de la sensibilité de leurs origines, greffées à nos membres accidentés comme un orteil sur une main. Le jour où le nègre ne saura plus se servir d’un balafon, tout sera perdu.

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