• Il y a une femme, parmi tant d’autres, qui symbolise l’inégalité des femmes et des hommes devant la justice. Cette femme, c’est Pauline Dubuisson. En 1951, elle a tué son ex-amant, Felix Bailly, et a été condamnée aux travaux forcés à perpétuité pour cela. Pour les commentateurs de l’époque, elle était le diable incarné. 65 ans après les faits, l’écrivain Philippe Jaenada s’est replongé dans son histoire pour découvrir qu’elle avait été totalement réinventée parce que cette jeune fille, indépendante et moderne, avait bousculé trop tôt les codes de la bonne société des années 50.

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  • Amélie Nothomb, morte ? Elle ne se souvient de rien. Voici pourtant qu’une dénommée Plectrude lui annonce la sinistre nouvelle. Elle lui révèle également qu’une identité posthume est attribuée à chacun au terme d’une cérémonie. L’un ira au paradis des cinéastes et l’autre au paradis des boulangers, par exemple. L’éternité est moins longue lorsqu’on échange autour d’une passion commune... Amélie s’attend donc à retrouver Stendhal et Virginia Woolf au paradis des écrivains. Stupeur ! Elle se retrouve au paradis des philosophes, aux côtés de Platon et de Nietzsche ! S’agit-il d’une erreur ? En faisant appel de cette décision, Amélie va subir un drôle de Jugement dernier au cours duquel viendront témoigner les illustres gloires de la philosophie, depuis Spinoza jusqu’à Sartre. Écrit « à la manière » d’Amélie Nothomb, ce conte philosophique de Marianne Chaillan est un voyage aussi drôle que méditatif qui invite le lecteur à découvrir autrement l’œuvre de la romancière mondialement célèbre.

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  • «Alexandre Soljenitsyne (1918-2008), prix Nobel 1970, n'a pas la parole. Alors, il crie. Et c'est ce long cri dont L’Express publie ici le texte intégral. Parler de lui est interdit dans son pays, où son œuvre continue à être bannie. La cérémonie privée qui devait avoir lieu, à Pâques dernier, dans un appartement de Moscou, au cours de laquelle le prix Nobel devait lui être remis, a été annulée parce que le secrétaire général de l'académie suédoise n'a pas pu obtenir des autorités soviétiques un visa d’entrée. Soljenitsyne a refusé d'aller recevoir ce prix à Stockholm, selon la coutume, parce qu'il craint, s'il quitte le territoire russe, de ne plus revoir son pays. Ainsi le discours traditionnel du lauréat Nobel a-t-il été escamoté. Mais l'ambassadeur des ombres, le survivant du « Pavillon des cancéreux » et du « Premier Cercle », n'a pas accepté le silence. Le discours qu'il aurait prononcé, il l'a écrit. C'est un grand texte. Le voici dans son entier.»

    Texte de référence: Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi à partir de : Alexandre Soljenitsyne“ LE CRI. Le discours du prix Nobel ”.

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