• Bienheureux les cons

    Mère sans bagage

    Commémoration passive
    (extraits d'un poème dit par Ysabel Remère)

    Dieu

    Enfantaison

    Taymont-l'Ami

    La vie commence tous les matin

    Les Non-Dits

    "Je regrette d'avoir connu tellement de bonheur pour devoir le payer si cher"

    Rémy parlait en ces termes lors du premier anniversaire de la disparition d'Ysabel.

    Isabel Remère a beaucoup voyagé, elle rencontre Rémy Ventura en mai 1987 dans le Midi chez des amis. "Je suis né ce jour-là" nous confie Rémy. Isabel écrit, écrit beaucoup, des choses qu'elle ressent, qu'elle vit en bien ou qui lui font mal.
    Elle rencontre les chansons de Jacques Brel et a envie d'en chanter plusieurs. Mais Ysabel ne chante pas. Rémy la pousse, insiste par admiration pour Brel, Brassens.
    "Nous avons des points communs". Il lui dit: "Va voir pour savoir comment ça fait" et petit-à-petit elle essaye timidement jusqu'au jour où elle offre à son public un récital des chanson de Brel. Elle avait réussi, vaincu sa timidité. Elle donne sa vie à la scène et s'identifie de plus en plus à Brel.
    Originaire de Marseille, Rémy Ventura habite à Paris pendant 17 ans, chante, fait du théâtre. Très bon musicien il décide de composer les musiques des poèmes d'Ysabel. Ysabel nous quitte en novembre 1997...
    Dès lors Rémy a envie d'enregistrer ses chansons. Il travaille beaucoup, se donnant une échéance : novembre 1998.
    Rémy Ventura chante Ysabel Remère en public en novembre 1998 à La Grange Neuve - La Roque sur Pernes - Vaucluse - Provence.

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  •  

    L’enfer, c’est le froid, et si vous saviez combien le froid s’est installé au fond de moi ! Un corps glacé, ça n’a qu’une seule idée, c’est de trouver quelque chose de chaud, n’importe quoi, et de s’y agripper, d’absorber sa chaleur, de la lui prendre. Ces quelques degrés qui ont creusé un tel gouffre entre vous et moi, qui font de vous un être humain et de moi un animal en enfer.

     
    A. N.
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  • Documentaire de Pascale Clark et Jean-Pierre Devillers.

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  • What power art thou, who from below,
    Hast made me rise unwillingly and slow,
    From beds of everlasting snow?
    See'st thou not how stiff and wondrous old,
    Far, far unfit to bear the bitter cold,
    I can scarcely move or draw my breath;
    Let me, let me freeze again to death.

    "Песня холода"
    Что за сила заставила меня подняться,
    медленно, против моей воли,
    из сугробов вечного снега?
    Разве ты не видишь,
    что плохо гнутся мои члены,
    что я чудовищно стар
    и не могу вынести этот злой мороз.
    Я едва могу сделать движение
    или вдох.
    Я едва могу сделать движение
    или вдох.
    Позволь, позволь мне
    замерзнуть снова...
    Позволь, позволь мне
    замерзнуть снова... и умереть!

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  • Les yeux

    Les yeux attirent profondément vers la vie avec une naïveté inouïe.


    Mais les lèvres chuchotent ce qu'elles connaissent de la vie et que les yeux méconnaissent.

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